Les gens appréhendent déjà bien souvent leurs visites chez le dentiste. Nul besoin d’ajouter la crainte d’y respirer un air insalubre. Pourtant, selon l’Occupational Information Network développé par le ministère américain Le département américain du travail (U.S. Department of Labor), quatre des cinq emplois les moins hygiéniques sont ceux d’hygiéniste dentaire, de dentiste, de technicien de laboratoire dentaire et d’assistant dentaire.
La nécessité de purifier l’air des cabinets dentaires en est l’une des principales raisons. Les cabinets dentaires sont des espaces publics à forte fréquentation, les patients étant eux-mêmes une source de pollution de l’air par les particules continuellement exfoliées de leur peau. Parmi ces particules, on trouve le Staphylococcus aureus, une des principales causes d’infections. Et avec l’arrivée du SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) et du SARM (Staphylococcus aureus multirésistant), la nécessité de prévenir la propagation des agents infectieux viraux et bactériens aéroportés est plus grande que jamais.
Des particules bactériennes, virales et fongiques sont introduites dans l’air lors du traitement des patients. Cela n’a rien de surprenant lorsqu’on sait que la bouche humaine peut abriter plus de 350 types de bactéries différentes. Le perçage des dents, des os et des tissus permet également de disperser dans l’air les microbes de la salive et du sang. Ces fines gouttelettes peuvent rester en suspension dans l’air pendant des heures, ce qui constitue une source d’infection potentielle pour le personnel comme pour les patients. C’est sans parler des vapeurs de mercure susceptibles de s’échapper lors du retrait d’amalgames dentaires.
Les instruments à ultrasons et la nécessité constante de désinfecter les surfaces créent également des bio-aérosols qui affectent encore plus négativement la qualité de l’air. Ces particules, de même que les particules fines et ultrafines, pénètrent profondément dans les poumons et peuvent être absorbées dans le sang. Cet environnement, déjà déplorable pour les patients, l’est encore plus pour les professionnels dentaires exposés quotidiennement à ces particules.
Respirer de l’air frais, propre et énergisant booste la productivité, réduit les risques de maladies respiratoires et garantit un environnement plus sûr et plus sain pour les patients comme pour le personnel. C’est là qu’intervient un purificateur d’air, tel que le Blueair Pro.
Le Blueair Pro affiche des performances robustes pour la purification de l’air dans les espaces restreints. Voire très restreints : un support mural en option permet de conserver le Blueair Pro à l’écart des équipements des salles de traitement déjà bien remplies, tout en facilitant le nettoyage du sol. Tous les modèles Pro sont de fabrication solide et dotés d’un boîtier en acier galvanisé pour résister à un débit important très chargé en polluants. Ils bénéficient, en outre, d’une garantie prolongée.
Les modèles Blueair Pro sont proposés avec le Blueair Air Intelligence Module (de série pour le modèle Pro XL). Ce module permet à la clinique dentaire de mettre le purificateur d’air en mode automatique. Le module teste automatiquement les niveaux de particules et de gaz de l’air intérieur. Selon ces niveaux, il ajuste la vitesse du ventilateur pour maintenir en permanence un environnement d’air pur optimal. Les résultats sont affichés à l’aide d’indicateurs informatifs et faciles à lire.
Blueair air purifiers are simple to use and have something special. We are the only major air purifier brand to verify 100% of our models for performance for Clean Air Delivery Rate (CADR).