L’expression « Loin des yeux, loin du cœur » est toujours discutable, mais lorsqu’il s’agit de l’air de votre sous-sol, elle est surtout contre-productive. La plupart des gens ne nettoient pas leur sous-sol aussi souvent que le reste de leur maison, la poussière, les moisissures et les champignons peuvent facilement s’accumuler et y causer des problèmes de qualité de l’air, y compris des mauvaises odeurs. Par ailleurs, comme la majorité des sous-sols n’a pas de fenêtres, moins vous ouvrirez la porte de votre sous-sol, moins il sera ventilé et plus l’air sera chargé en moisissures.

Lorsque vous vous rendez au sous-sol, vos voies nasales et vos poumons sont généralement agressés par une concentration d’allergènes plus élevée que partout ailleurs dans la maison. Si vous stockez tous vos produits chimiques de nettoyage dans la cave, vous ajoutez, sans le savoir, des COV à l’air que vous respirez.

Dans la mesure où de nombreux systèmes de chauffage et de ventilation puisent l’air du sous-sol, une certaine quantité de ce que vous respirez au sous-sol peut se répandre dans votre maison. Les spores de moisissures, par exemple, comptent parmi les allergènes les plus courants dans les sous-sols. Elles sont facilement captées par le système de ventilation et se répandent ainsi, aisément, dans toute la maison. L’air renfermé des sous-sols constitue alors un risque pour la santé de tous, même pour les jeunes enfants qui n’ont pourtant pas accès à cet espace.

Il existe plusieurs moyens de prévenir les odeurs poussiéreuses en sous-sol et de réduire les risques sanitaires liés aux salles de bain affectées par les moisissures :

• éliminer la condensation autour des tuyaux en les isolant.
• trouver et réparer toute fissure affectant les murs du sous-sol et permettant à l’humidité extérieure de pénétrer dans votre habitation.
• Verser un mélange de vinaigre et d’eau dans les canalisations du sous-sol une fois par semaine pour tuer les moisissures et les champignons.

Sans aucun doute. Un purificateur d’air de sous-sol peut non seulement éliminer les odeurs de sous-sol, mais aussi piéger les allergènes et autres particules à leur source, avant qu’ils ne se répandent dans la maison, ce qui permet de garder l’air plus pur et de réduire les risques sanitaires liés à la présence de moisissures au sous-sol, quelle que soit la pièce dans laquelle vous vous trouvez.

La première chose à prendre en compte est la taille, vous devez donc mesurer la superficie de votre sous-sol. Un purificateur d’air est conçu pour purifier une certaine quantité d’air par heure. Ce débit d’air propre est à la base de la sélection du bon purificateur : plus votre sous-sol est grand, plus le purificateur d’air dont vous aurez besoin sera également grand. Pour un résultat optimal, un purificateur d’air doit avoir la capacité de fournir cinq renouvellements d’air par heure.

Les purificateurs d’air Blueair Classic sont disponibles en différentes tailles pour la prise en charge de pièces allant de 26 m2 à 72 m2. Les purificateurs d’air Blueair Pro peuvent être utilisés dans des pièces pouvant atteindre jusqu’à 110 m2. Les modèles Classic et Pro sont tous deux équipés de la technologie Blueair HEPASilent™.

Efficacité énergétique, longue durée de vie des filtres et fibres antibactériennes font des purificateurs d’air Blueair les accessoires incontournables de pièces nécessitant une filtration continue de l’air, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, sans contrôle fréquent. Ils sont également équipés de témoins lumineux pour vous rappeler de changer le filtre. Cette fonction est particulièrement utile pour les personnes qui ne passent pas beaucoup de temps dans leur sous-sol.

Certains modèles Blueair peuvent être connectés à votre réseau Wi-Fi et vous notifier régulièrement, sur votre appareil mobile, de la qualité de l’air. D’autres s’adaptent automatiquement à toute augmentation de la pollution, vous donnant ainsi, en permanence, l’assurance que l’air de votre maison est sain et pur, jusque dans votre sous-sol.

*Testé sur des particules de jusqu’à 0,1 micromètre conformément à la norme EN 1822.